Après la fête, c'est bien aussi
Pour ne pas se laisser gagner par le blues qui suit la fête,
le meilleur moyen c'est de la prolonger, un peu.
Profiter de façon enfantine de ses jolis présents,
en les alignant sur la table basse comme des butins précieux,
poursuivre le régime sucré lâchement abandonné après le retour d'Allemagne,
car il reste bien quelques reliefs de la veille,
et je n'aime rien tant que ces "after" où l'on profite encore mieux
des bonnes choses, dans l'intimité, et en tenue de maison,
en chaussettes doudou, sans maquillage ni contrainte.
Parmi les jolis cadeaux reçus, mention spéciale pour ce petit présent
dont tout le packaging a été fait main :
un photophore contenant un "bon pour" un voyage
dans un joli coin de France que j'ai toujours rêvé de visiter.
L'après-midi, on a vaqué à quelques menus rangements,
en s'arrêtant pour regarder pour la millième fois
Autant en emporte le vent à la télévision, en se demandant oomment
Scarlett ait pu résister à Rett aussi longtemps, et pleurniché comme à 14 ans.
C'était très bon.