D day
J'aime bien cette initiale en zinc, à l'époque originale,
provenant d'un magasin fermé depuis, Résonances.
C'était un des premiers concept stores de la capitale,
une sorte de droguerie de luxe pour bobos où l'on trouvait l'eau de mélisse
de ma grand-mère et le presse-purée de mon grand-père.
Elle a fait beaucoup de petits depuis (Merci, La Trésorerie,...)
mais je le regrette encore. Les produits étaient de qualité.
Autre sentiment chez MDM où je suis allée rôder hier.
J'en suis sortie avec une overdose de Happy, Joy, Smile
et autres niaiseries anglo-saxonnes collées à la va-vite
un peu partout sur chaque objet,
sans aucun rapport avec l'humeur annoncée.
Un peu, c'est bien, trop c'est trop.
(Bon, OK, j'ai un coussin Love, mais c'est pas pareil...)
Comme je ne sais pas bouder très longtemps, j'ai quand même trouvé le moyen
de repartir avec deux housses de coussins aux motifs très graphiques,
et un mini-moulin destiné à Suzanne, mais que Triskell
a tout de suite adopté (grand dadais, à ton âge...)
Ce billet manque un peu de couleurs pétantes, je le confesse,
mais je suis en crise de noir/gris/blanc en ce moment,
ce qui peut sembler paradoxal au coeur du printemps.
Et la couverture de ce sublime ouvrage reçu samedi,
auquel je me suis abonnée sans hésiter,
n'est pas faite pour me déplaire !
{ruban Joe Malone; coeur porcelaine Monoprix;
coussins Zoé, Ikea, Maisons du Monde;
petit pot de porcelaine "D" Design Letters;
mini-plateau Ikea; mug Bloomingville; étagère Mint&Lilies}