En attendant
En attendant quelque chose qui pourrait ressembler au printemps, je me
réfugie dans la confection de bons-gros-gâteaux-qui-font-du-bien-au-moral.
Leur délectable parfum dans la maison, combiné aux ronrons des chats, à
la voix d'Agnès Obel qui tourne en boucle et aux lectures douillettes...
je n'ai pas trouvé mieux pour passer cette fin d'hiver.
{assiettes creuses Casa; sets Ikea; couverts Zara Home; plat bleu et assiettes à dessert chinés}
Alors oui, encore un billet qui se mange et se renifle, mais je vous promets
un élargissement de mon horizon dès que la température atteindra au moins 10°...
{linge de lit en lin AMPM; carte de fête Papillon Papillonnages}
Ce gâteau à l'air innocent est en fait un killer de première, dont je n'ai
aucun scrupule à dénoncer les complices : amandes, poire et chocolat.
Rendez-vous sur ce blog si vous souhaitez en savoir plus.
Mais je vous aurai prévenu(e)s.
Se plonger dans les mots ou les images, tandis que petit à petit se floute
le monde autour de soi, que la fureur s'apaise, qu'on entre dans une autre vie
que la sienne, un autre décor, un monde nouveau...
Lectrices, nous sommes des aventurières immobiles
aux pensées vagabondes, admiratives et complices de ces artisans
des mots dont on envie un peu l'aisance, l'esprit et l'imagination.
{plateau Mint & Lilies; torchon Monoprix}
Le salé avant le sucré. La charrue avant les boeufs. Tant pis, je vais
conclure avec mes tartelettes rustiques (ici, oignons caramélisés
et comté râpé). Comme j'ai toujours au congélateur des restes de pâte,
et forcément un petit quelque chose à mettre dedans, j'improvise rapidement
ce genre de dînette accompagnée d'une salade et d'un verre de Chardonnay.
Bon week-end gourmand à tou(te)s !